Pour Jean-Philippe Leclerc, dans le cadre de son métier, il a eu l’occasion de visiter à quelques reprises des élevages et des abattoirs. Il a alors eu une grande remise en question sur son alimentation et sa consommation de viande, à tel point qu'il a pensé devenir végétarien. Son questionnement éthique par rapport à la nourriture l'a amené à suivre des cours de chasse. C’était pour lui une certaine façon d'avoir une autonomie alimentaire.
Il ne vient pas d’une famille de chasseurs, il a donc dû tracer son propre chemin et s’entourer de gens avec qui il partage maintenant cette passion. Aujourd’hui, il a la chance et l’opportunité de consommer la meilleure viande biologique qui soit : une viande saine qui provient d’un animal qui n’a pas subi les stress de l’élevage et de l'abattage ; un animal dont la quête principale est de se nourrir et de faire face à un environnement rude et austère.